Augmentation mammaire Paris 16ème 75016

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Augmentation mammaire : questions et réponses

– J’ai des seins très enfoncés, les implants vont-ils les remonter ou dois-je faire un lifting en même temps ?

Elle dépend du degré de ptôse. Les implants McGahn 510 ont été développés spécifiquement pour de tels cas. Mais il y a des cas où même ces implants ne suffisent pas, auquel cas la combinaison de la pose d’implants et du resserrement simultané est appliquée.

– Mes seins resteront-ils en bon état après la mammoplastie si j’ai un enfant ?

Il est impossible de prévoir comment vos seins se comporteront après l’accouchement. Cela ne dépend pas de la présence ou non d’un implant. Lors du premier accouchement, vos seins augmenteront généralement, lors du deuxième accouchement, ils ne se déformeront pas davantage, mais aucun chirurgien ne peut dire avec certitude à quoi ils ressembleront après la naissance du bébé. Il est impossible de le prévoir au moment de l’opération. On  n’exclut pas la possibilité qu’une correction soit nécessaire après l’accouchement. Cependant, aucune des  patientes qui n’ont pas encore eu de bébé n’est venue me voir avec ce problème.

– J’ai vu une photo sur Internet sur laquelle mes seins après l’opération sont asymétriques. Un tel événement est-il fréquent ?

On pense que s’il y a une opération ratée sur mille, alors personne ne saura rien des mille opérations réussies parce que tout est bien fait et qu’une opération ratée sera publiée sur Internet. Les femmes font rarement attention au fait que presque tous leurs seins présentent une certaine asymétrie. Et si la patiente ne commence à le remarquer qu’après la mammoplastie, cela ne signifie pas que l’opération est mal faite. Par ailleurs, cette asymétrie aurait pu être corrigée lors de l’opération et le médecin doit, bien entendu, en discuter lors de la consultation.

– À quel âge est-il préférable de subir une mammoplastie ?

Il s’agit d’une opération esthétique, et en règle générale, elle n’est pas pratiquée pour des raisons médicales, mais lorsqu’il y a un désir et un besoin d’améliorer l’apparence. Cela peut être 18, 30 ou 40 ans, on  a fait une mammoplastie et la femme à l’âge de 70 ans. Mais le plus souvent, les patients viennent de 20 à 45 ans.

– La pose d’implants est-elle sûre si je n’ai pas encore accouché ?

Pendant longtemps, au début des implants, on a pensé qu’il était préférable de pratiquer l’opération après l’accouchement. Mais aujourd’hui, il existe des implants de nouvelle génération et ces recommandations ont perdu leur pertinence. Il n’y a pas de contre-indication à la pose d’implants pour les femmes qui n’ont pas accouché. Beaucoup des  patientes se sont fait refaire les seins avant la naissance du bébé.

– Combien de temps les points de suture mettent-ils à guérir et comment peut-on accélérer le processus ?

La disparition complète de la suture, lorsqu’elle devient presque invisible, prend trois mois et demi à quatre mois. C’est la période pendant laquelle les tissus mous du sein se remodèlent et la tension non naturelle présente après la chirurgie est éliminée. On  pense que ce processus doit se dérouler naturellement et on  ne préconise pas l’utilisation de pommades telles que le Contratubex. L’utilisation de pommades qui soulagent les gonflements et les ecchymoses est conseillée. Si, après cela, la densité de la suture demeure, diverses méthodes de physiothérapie sont utilisées.

– Les aréoles s’élargissent-elles pendant la pose des implants ?

Oui, les aréoles sont étirées dans une certaine mesure, mais il est difficile de calculer de combien elles seront agrandies. L’aréole diffère de la peau, elle peut rétrécir en réponse au froid, à l’excitation… Si l’aréole est grande, il est possible de la réduire simultanément à la pose d’implants.

– J’ai des seins en forme de cône, peut-on les corriger avec des implants ?

Un implant peut créer le volume et la forme d’un sein conique ou, comme nous l’appelons, tubulaire, mais si les structures internes sont telles qu’elles ne permettent pas au sein de se déployer complètement et de prendre la forme d’une sphère, alors vous pouvez avoir besoin d’une intervention supplémentaire – dissection du fascia interne ou ablation externe de l’excès de peau. Un chirurgien expérimenté sera en mesure de choisir à la fois l’étendue de l’opération et les bons implants pour donner à la patiente une poitrine normale.

– Dans votre pratique, combien de fois avez-vous rencontré des complications après une mammoplastie ?

En un quart de siècle de pratique chirurgicale, on a  eu 5-6 cas de contractures capsulaires. On  ne peut pas dire que c’est le résultat d’erreurs chirurgicales, mais c’est plutôt un effet des caractéristiques individuelles du corps. On a souvent dû répéter des interventions chirurgicales pour corriger le travail d’autres chirurgiens, notamment pour remplacer des implants inadéquats. Il fut un temps où nous avions des implants PIP français qui ont ensuite été abandonnés, et avec le temps, leurs gaines se sont endommagées.

– Que signifie le terme de double cohésion avec les implants McGahn style 510 ?

Dans les implants de ce style, deux types de gel sont combinés dans une même enveloppe – dans le point le plus saillant, il y a du gel cohésif dense et le long des bords de l’implant, du gel Soft Touch. Voir ce site https://www.riccardomarsili.fr/chirurgie-esthetique/chirurgie-mammaire/augmentation-mammaire-dual-plan qui vous en dira plus !

 

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